Un décor cinématographique au cœur de Paris #
C’est l’expérience offerte par OJII, un restaurant niché dans le prestigieux VIIe arrondissement parisien. Ce lieu, créé par Arthur Cohen et Olivier Leone, est un sanctuaire du fine dining inspiré par des icônes cinématographiques telles que Kurosawa et le mystérieux Dorsia d’American Psycho.
En poussant la porte d’OJII, vous entrez dans un monde où la laque rouge et les éclats dorés dominent, créant une atmosphère à la fois mystérieuse et accueillante. Les masques dorés, suspendus comme des talismans, ajoutent à l’ambiance un air de secret que même les initiés peinent à déchiffrer.
Une fusion artistique et gastronomique #
OJII n’est pas seulement un restaurant, c’est une œuvre d’art vivante. Olivier Leone, cofondateur et visionnaire, a sculpté chaque élément du décor pour transformer le repas en une expérience immersive. Les masques en feuilles d’or, créés par Jenna Kaes, évoquent les masques égyptiens et le cri de Munch, tandis que les assises en laiton et les porte-baguettes reflètent le raffinement du joaillier Alican Icoz.
Le fond de la salle est orné de miroirs acides conçus par Étienne Marc, qui captent et reflètent la lumière à travers des motifs floraux inspirés de l’ikebana. Cette fusion entre art et gastronomie fait d’OJII un lieu où dîner devient une exploration culturelle.
Des plats qui racontent une histoire #
Yuji Mikuriya, plus connu sous le nom de Taku, est le chef résident qui transforme chaque plat en une narration culinaire. Formé par des maîtres de la cuisine japonaise, Taku travaille le poisson avec une précision qui frôle l’artisanat. Son carpaccio de yellowtail, par exemple, est une composition florale de saveurs, avec crème de miso-wasabi, œufs de truite et sarrasin torréfié.
Le menu varie, offrant des surprises comme l’anguille caramélisée accompagnée d’ail noir ou d’umeboshi selon l’inspiration du jour. Le sukiyaki de wagyu à la truffe noire, servi dans un bouillon dashi, est un consensus de saveurs qui satisfait les palais les plus exigeants. Chaque plat, unique et mémorable, est une célébration de la cuisine japonaise contemporaine.
- Concept inspiré par le cinéma noir japonais et international
- Un cadre intimiste avec trois niveaux distincts pour une expérience personnalisée
- Des plats qui allient tradition et créativité, servis comme des œuvres d’art
FAQ:
- Quelles sont les inspirations cinématographiques d’OJII ?Le restaurant s’inspire de films tels que ceux de Kurosawa et Eyes Wide Shut.
- OJII convient-il pour des occasions spéciales ?Absolument, le cadre et le menu en font le lieu idéal pour célébrer des moments importants.
- Peut-on considérer OJII comme un musée gastronomique ?Oui, la fusion de l’art et de la cuisine crée une expérience qui va au-delà du simple repas.
- Quelle est la spécialité du chef Taku ?Le carpaccio de yellowtail est particulièrement remarquable pour sa présentation et ses saveurs.
- Y a-t-il un autre projet en préparation par les créateurs d’OJII ?Oui, le Bar Omi ouvrira ses portes en 2025, offrant une nouvelle dimension à l’univers d’OJII.
Une expérience incroyable pour les sens. Je le recommande pour une soirée spéciale.
Leur collection de saké complète parfaitement la cuisine. Avez-vous des recommandations spécifiques?
Je suis sceptique… Est-ce vraiment aussi bon qu’on le dit ou juste un coup de marketing bien huilé?
Sérieusement, les prix sont élevés mais ça vaut chaque centime. Une expérience unique à Paris.
Je n’ai jamais vu un restaurant qui fusionne art et gastronomie de cette manière. Chapeau bas!
Le carpaccio de yellowtail est à tomber par terre! À tester absolument si vous y allez.
Avez-vous des options végétariennes qui restent dans l’esprit créatif du menu?
Les masques dorés et les décors sont incroyables! On a l’impression d’être dans un film de Kurosawa!
Je dois avouer que je suis un peu déçu par le service… Peut-être une mauvaise soirée pour eux?
Le chef Taku est un véritable artiste. Chaque plat raconte une histoire fascinante!
Impressionnant comment chaque détail du décor contribue à l’expérience. On se croirait vraiment dans un autre monde.